Train Station
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SKULI || Down with the Sickness.

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MessageAuteur
MessageSujet: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 19:20

۩ Lesli Ezéchiel Skúli LEIFSSON ۩


SKULI || Down with the Sickness. J15a91
Haine Rammsteiner © DOGS Bullets&carnaget
Sweet dreams are made of this.

Fiche d'identité

Né(e) : 13 Octobre
Age : 23 ans
Sexe : Masculin
Nationalité : Franco-islandaise
Groupe voulu : Second Class
Arme : Marteau multi-tailles.
Situation amoureuse : Célibataire
Surnoms : Skul, l'albinos.
Chanson
thème :
Riot - Three Days Grace

Mord-toi la langue, tu vas finir par me plaire.

Si l’on devait donner un nom à la folie, on l’appellerait sûrement Skúli. Ou l’agacement aussi. En réalité, il pourrait être un syndrome à lui tout seul. Mais pas Lesli, parce que c’est un putain de prénom de gonzesse ça. Il ne faut jamais l’appeler Lesli, autant que vous le sachiez dès à présent. Il n’y a que ceux qui sont véritablement proche de lui qui pourraient se le permettre, encore que tout dépend de son humeur du moment parce qu’il pourrait aussi très mal le prendre. Mais à peine commencé que nous nous égarons. Parce qu’il faut être méthodique et organisé pour décrire sa personnalité absolument labile et chaotique.

Alors tout d’abord. Skúli n’est pas un associable fini. Non. Même s’il essaye de le faire croire et se comporte parfois avec tellement de mépris et d’insolence que ses amis préfèrent le laisser tomber. Ça c’est l’air qu’il veut bien se donner, le comportement qui flatte le plus son égoïsme et sa fierté. Il est plus facile de râler et faire preuve de mauvaise foi que de s’excuser et admettre ses erreurs. Skúli fait rarement face à la réalité. Il la fuit. Il s’enferme dans son cocon d’égoïsme et de narcissisme où il n’y a personne pour le contredire ou lui déplaire. Par définition, il a toujours raison. Il sait tout mieux que tout le monde et fait tout mieux que tout le monde. Véritable mythomane, il se ment très bien à lui-même. Quant à essayer de lui mettre les choses en face et de lui faire dire les choses telles qu’elles sont, il se refermera comme une huître et aura même le culot d’affirmer que de toutes façons les cochons volent, c’est juste vous qui êtes trop cons pour n’avoir jamais regardé au bon moment par la fenêtre. Pour supporter le jeune homme, il faut avoir des nerfs d’acier et beaucoup de patience. Mais ce n’est pas impossible. Certains y sont déjà parvenus parce qu’au fond, il n’est pas un mauvais bougre. Et surtout, il déteste la solitude. Malgré tout ce qu’il pourra prétendre et soutenir même avec un flingue sur la tempe, il n’est pas un solitaire. Il n’est pas de ceux qui peuvent vivre tranquillement loin des autres, taciturnes et froids comme la glace. Il a besoin des autres. On ne pourrait dire qu’il s’attache facilement, car il est extrêmement méfiant voire même complètement paranoïaque parfois. Parfois, il psychote complètement et surinterprêtera sûrement le moindre de vos propos ou de vos gestes. Il dramatise et pire, il n’a aucun sens de l’humour ou du moins, il ne comprend pas le second degré, il passera complètement à côté et vous prendra très certainement au sérieux. L’islandais a aussi tendance à se sentir persécuté dans ses moments de folies les plus intenses. Néanmoins, une fois qu’il est attaché à quelqu’un, sa plus grande peur est que vous l’abandonniez. Il n’est pas tendre, il n’est pas démonstratif, il n’est pas adroit avec les sentiments. Il montre son affection à sa façon et craint plus que tout d’être déçu, sans jamais pourtant se l’avouer ou l’avouer même au principal concerné. Il souffrira en silence, jamais il n’extériorisera ces sentiments honteux. Et pour l’avoir abandonné, il vous haïra.

Skúli vit en fait tout à l’extrême, ressent tout à l’extrême. Il a un comportement extrême.
Il est borderline.

On lui a diagnostiqué cette pathologie mentale il y a de cela un peu moins de dix ans. Il est suivit, mais se prend en main quand l’envie lui en prend. Il se fiche de sa santé, il se fiche complètement de sa personne. Vous pourrez le menacer d’un couteau sous la gorge ou d’un canon de revolver dans la bouche, il n’aurait pas peur de mourir. Sans parler de comportement suicidaire à proprement parler, il est autodestructeur. Conduites à risque et tout le tralala, vous voyez ? L’alcool est dans son biberon du matin et fumer sa cigarette est son premier geste en se levant. Sans oublier ses pilules coupe-faim qui constituent son premier repas. Il ne compte plus ses addictions, il ne se rend même pas compte qu’il se tue à petit feu puisqu’il se sent vivant de cette façon. C’est un anxieux. Il est mal dans sa peau. Mal dans sa vie. Mais il ne le sait pas. Il ne fait pas face à la réalité, souvenez-vous. Il vit à travers les autres, en s’accrochant aux autres; c’est pourquoi la moindre déception peut le faire décompenser à une vitesse hallucinante. Une anorexie mentale aussi, entrecoupée de crises de boulimie qui dans tous les cas se termineront la tête dans la cuvette. Insomniaque également. Mais de tout ce mal et cette pourriture, il n’en laisse rien paraître.

Qu’est-il alors ? Outre le chasseur égoïste et de mauvaise foi. Il est chasseur justement. Second class pour ne pas heurter les âmes sensibles. Tuer ces monstres, à bien y réfléchir, c’est son seul leitmotiv. Sadique, cruel, il est complètement insensible aux malheurs de ces créatures qu’il ne considère pas comme humaines. Ce sont des animaux, point barre. Et Brigitte Bardot ne l’aurait sûrement pas porté dans son cœur, ce bonhomme là; parce que les bébés phoques, je peux vous assurer qu’il n’en a rien à secouer sinon la somme que leur peau pourrait lui apporter. Mais en plus de les tuer, il prend habituellement un malin plaisir à les torturer. Certains diront de lui qu’il est lâche; lui apprécie seulement s’en prendre à plus faible que soi. C’est tout simplement jouissif. Plus grand aussi, ça ne lui fait pas peur, mais ça demande plus de préparation. Quoi qu’il se prépare assez peu voire pas du tout. Skúli agit puis réfléchit …. parfois. Il est impulsif et irraisonné et ne se sent coupable que dans des cas bien précis. Ce qui est fait, est fait. Il fonce dans le tas et fera avec les restes, et la prochaine fois, ça sera encore la même chose. Il ne retient jamais la leçon, complètement borné et étouffé par son orgueil. Il réagit au quart de tour, passant du rire à la colère sans raison apparente. Alors il peut être extrêmement violent et agressif, vulgaire et mauvais et ceux même avec les personnes de son entourage.

Il détruit tout ce qu’il construit. Sa vie est un éternel recommencement.

Pourtant, il ne le fait pas exprès. C’est plus fort que lui peut-on dire. Mais. MAIS. Il lui arrive aussi d’être un jeune adulte normal avec des hobbies normaux. Mine de rien, il aime s’amuser. Faire la fête, mais seulement s’il y a de l’alcool et de belles courbes à se mettre sous les crocs. Il profite des bonnes choses, comme tout homme. Mais il est aussi instable que son humeur le laisse deviner. Il s’accroche autant qu’il peut être capable de papillonner à droite et à gauche. Un comportement paradoxal, mais tout réside dans qui choisit de mettre fin à la relation. Qu’aime-t-il encore ? Paresser. L’oisiveté est mère de tous les vices et c’est sûrement ça son plus grand problème. Il ne dort pas mais aime juste rester affalé dans un endroit chaud et confortable. Jusqu’au moment où une poussée d’hyperactivité le poussera à courir de long en large dans les wagons en gueulant parce que cette maudite boite de conserve géante est part encore arrivée en gare. Lunatique vous dis-je. Il s’ennuie souvent, et à part s’amuser à aller torturer les malheureux First Class qui croisent son chemin, il n’avait pas grand-chose à faire. Il n’aime pas lire. Il ne sait jouer d’aucun instrument, à croire d’ailleurs que ce sont eux qui ne l’aiment pas. Il ne sait pas dessiner. Bon, il aime chanter. Il sait chanter même et d’une voix particulièrement claire pour un homme; mais plutôt mourir que de chanter en public. Tout de même. Il y a bien une chose qui le distrait : les jeux vidéos. Dans son genre, on peut dire même que c’est un véritable geek. Sur le toit, dans les toilettes, à trois heures du matin, en mangeant, il trimballe sa seule petite amie stable, sa précieuse Nintendo. Il a bien d’autres plateforme de jeu mais c’est sa préférée, absolument fan de Pokémon et de Zelda, il aime assez aussi Final Fantasy. Les jeux de guerre et de voiture, c’est assez peu pour lui finalement.

Il a beau avoir 23 ans, Skúli est bien loin d’être mature.
Étonnant ? Non, de toute évidence.

Belle histoire, histoire ancienne. Votre passé.

2:00. Il fixe le plafond.
2:01. Depuis combien de temps cherche-t-il le sommeil déjà ?
2:02. Il devrait peut-être fermer les yeux …
2:03. Il se tourne sur le côté et fixe le réveil.
2:04. Oui, fermer les yeux. C’est la solution.

Citation :
« Papa… »

Un petit garçon se tenait dans l’encadrement d’une porte. L’ombre de sa silhouette d’enfant se projetant dans l’escalier sous lui. Le couloir qui plongeait dans les entrailles de leur maison était sombre, il avait toujours eut peur de s’y aventurer. L’escalier et les ombres sur le bois foncé lui donnaient l’impression d’une grande gueule aux crocs acérés. Alors il restait en haut des marches, ses cheveux blancs en bataille et une peluche pendant au bout de son bras mince et pâle. Sa gouvernante l’avait bien couché il y a une heure, mais il avait demandé après son père et sa mère et cette menteuse lui avait dit qu’ils viendraient bientôt lui dire bonne nuit. Une heure qu’il attendait son bisou. Sorti des draps chauds et confortables de son lit, il était descendu à pieds nus pour venir les trouver lui-même. Mais voilà, il était encore coincé en haut des escaliers. Il s’assoit sur la première marche, serrant un instant sa peluche lapin entre ses mains dans un petit couinement. De sa petite voix, il essayait d’interpeler ses parents, mais ils ne semblaient pas l’entendre. Pourtant lui entendait distinctement leur voix. Et d’autres bruits aussi. Parfois c’était des gémissements, d’autres fois de véritables cris mais généralement, les cris n’étaient pas longs. Il ignorait d’où il pouvait provenir mais il n’en avait plus peur maintenant, c’était quelque chose de normal, comme un fond musical.

« Maman … »

Tous les soirs, il venait là et s’asseyait sur la première marche.
Tous les soirs, il scrutait l’obscurité de ses yeux rouges.
Tous les soirs, il attendait après ses parents.


Tous les soirs sauf un. Un 25 Octobre; Lesli venait d’avoir 7 ans. Ses cheveux boudaient toujours L’Oréal, et il ne fallait pas douter qu’ils se rebelleraient le reste de sa vie contre la docilité capillaire. Vive les tifs libres ! semblaient-ils crier en s’agitant nerveusement au rythme des pas de l’albinos. Toujours ces mêmes yeux carmins aussi, et cette peau si pâle qu’elle semblait briller dans les ténèbres de ce début de nuit. La gouvernante était allée se coucher dans ses appartements de la grande demeure islandaise une fois le petit couché. En 7 ans, elle n’avait toujours pas compris qu’il n’irait pas se coucher sans avoir vu ses parents. Une Suisse, que voulez-vous … Lesli n’était pas cet enfant choyé et cajolé. Oh, ses parents l’aimaient. Ou du moins en étaient-ils persuadés bien qu’ils ne lui accordent que quelques minutes par jour et cela tout au long de l’année. A son anniversaire, un cadeau l’attendait toujours avec un gâteau qu’il mangerait avec sa gouvernante ou bien des amis de classe qu’il aurait eut le droit d’inviter. A Noël, de nombreux présents l’attendaient toujours au-dessous d’un énorme sapin étincelant de rouge et d’or. A Pâques, il pouvait se lancer à la chasse aux œufs dès son réveil dans les trois étages de la maison et sans oublier le jardin. Il avait tout ce qu’il voulait et même ce dont il n’avait pas besoin. La seule chose qu’on lui ait jamais refusé, ce fut un animal. Un petit chien, un petit chat ou même un poisson rouge. Mais le garçon s’en était accommodé. Parce que Papa et Maman l’aimaient et se donnaient beaucoup de mal pour lui faire plaisir; ils travaillent beaucoup et savent ce qui est le mieux pour lui. Parce que Papa et Maman n’avaient pas de temps pour lui.

Mais ce fameux soir, la porte était fermée. Colosse d’acier devant la gueule affamée de l’escalier. L’air aussi surpris que déçu, il reste devant les bras ballants. Il n’avait plus sa peluche, on s’était moqué de lui à l’école. On lui avait dit qu’il était trop grand pour ça. Il ne pouvait plus entendre les bruits d’en bas, et il ne pouvait pas non plus l’ouvrir car elle n’avait pas de poignée. Tout était soudainement si calme dans la maison, un silence qui l’effrayait plus que les cris habituels. En haut à droite, la caméra de surveillance fixée au mur pivote vers lui et fait une mise au point silencieuse. Au bout de quelques minutes, elle s’ouvre. Lesli jeta un coup d’œil, fronçant légèrement ses sourcils dans une moue intriguée. Toujours ce même silence.

« Maman ? … Papa ? »

Jamais de réponse. Alors il aurait dû s’asseoir sur la première marche et attendre; en jouant avec un fil de son pyjama gris ou une des petites figurines Pokémons qu’il laissait toujours là pour passer le temps. Mais il mit un pied sur la deuxième marche. Lent et inquiet. Pour se donner de l’assurance, le garçon s’était à moitié retourné pour prendre son Dracaufeu. Le meilleur des Pokémons, parce qu’il pouvait voler et cracher du feu et ça, c’était trop la classe. A l’école, on lui avait dit qu’il n’était pas plus fort que les autres parce qu’un Pokémon eau prenait le dessus. C’était ridicule. Il pouvait s’envoler pour éviter les projections d’eau, c’est juste que dans le jeu … et bien ils n’avaient pas pensé à tout, na. Plus tard, il créerait lui aussi un jeu Pokémon pour leur montrer faute de pouvoir devenir Maître Dresseur. Parce qu’il a beau avoir 7 ans, il sait que ça n’existe pas voyons. Enfin. Lentement le garçon descend. Marche par marche et en scrutant d’un œil inquiet le bas de l’escalier qu’il atteint au bout de quelques minutes. Longeant un mur carrelé de blanc, sa main l’effleure tandis qu’il avance. Toujours pas de bruit mais la lumière revient. Vive et irritante. Et puis surtout, cette odeur âcre qui assaille ses narines. Une odeur qui se dépose sur ses papilles, y laissant un arrière goût métallique tant elle était puissante.

Alors tout se fige brusquement.

Une grande pièce blanche. Et rouge. Des cages entreposées dans un coin. Et des instruments et autres machines étranges dans un autre coin. Mais les cages étaient toutes grande ouvertes, sauf deux. Où l’enfant reconnu ses parents enchaînés et blessés par endroit. Ils se pressaient chacun contre les barreaux, leur bouche grande ouverte pour lui hurler de partir. Mais il n’entend rien. Lesli garde seulement ses grands yeux rouges écarquillés et perdus. Pourquoi Maman pleure ? Pourquoi ils sont enfermés ? Il détourne son regard vers les autres personnes. Amas grouillant de silhouettes courbées aux visages déformés par le vice. Ou la souffrance et l’envie de vengeance. Des faciès humains qui le dévisagent … jusqu’à ce que des crocs remplissent leur gueule béante.

Des monstres se jetèrent sur lui.

3:00. Skúli ouvre les yeux. La pièce était encore plongée dans le noir, seuls les chiffres rouges du réveil faisaient danser quelques ombres sur le mur du fond. Il soupire. La dernière fois qu’il avait regardé l’heure, il était 2:04. Dans le silence ambiant, il pouvait parfaitement entendre les battements rapides de son cœur. À quoi bon dormir si ces cauchemars viennent le hanter continuellement ? Repoussant le drap, il s’assoit sur le matelas en se massant le cou. L’obscurité voulait bien cacher les affreuses cicatrices autour de sa gorge. Quand ces monstres lui déchiquetèrent la chair. Depuis ce soir du 25 Octobre, il avait toujours mal. Peut-être plus psychologiquement que physiquement maintenant mais au final, c’était du pareil au même. Frottant ses yeux cernés, il se glisse au bord du lit, se levant pour aller à la cuisine de son petit appartement.

Ce qu’il était devenu depuis tout ce temps ? Ses parents étaient morts bien sûr. Il fut le seul cette nuit là à ne pas succomber aux sévices que les anciens cobayes leur firent subir. Peut-être parce qu’ils n’avaient peut-être l’idée de le tuer réellement; vivre avec ce poids valait bien mille morts après tout. 13 ans plus tard, il payait encore pour les expériences que ses parents avaient faites. S’il leur en voulait ? … Il aurait bien des raisons mais non. C’était à ces hommes-animaux qu’il en voulait. Ils lui avaient volé ses parents pendant des années, jusqu’à la tuer. Ils l’avaient rendus orphelin et handicapé. Handicapé de la vie. Des monstres sans pitié ni jugement qui l’avait égorgé. Si la gouvernante n’avait pas prévenu les secours, qui sait ce qui se serait passé ? Mais peut-être aurait-il mieux valu pour leur foutue espèce qu’il crève cette nuit là. Parce qu’il n’était pas prêt de les laisser en paix.

3:06 Il ouvre le réfrigérateur, hésitant malgré le vide intersidéral sur les planches.

Citation :
Dans le parc de l’orphelinat, un garçon était accroupit de dos. Un large imperméable protégeait son corps de la pluie torrentielle qui s’abattait sur Reykjavik, la capuche dissimulant ses cheveux de neige. Chaque goutte tombant dessus faisait un drôle de bruit à son oreille, un bruit sec. Lesli aimait bien ce bruit. Il devait être le seul enfant de l’établissement à sortir par un temps pareil, mais en même temps, il ne pouvait pas non plus sortir comme il le voulait, il était trop sensible au soleil. Pourtant, il n’aimait pas tant que ça la pluie. C’était froid. Mais ça ne l’empêchait pas de rester accroupit au pied de ce grand arbre. Face au tronc et silencieux. Une des surveillantes l’avait remarqué par une des fenêtres; soupirant et prenant un parapluie pour sortir aussitôt.

« Lesli ! Lesli rentre, tu vas être malade ! »

Il l’avait bien entendu, mais il n’esquissa pas un mouvement. Agacée de devoir mettre les pieds dans la boue, elle bougonne quelques damnations pour ce gamin insupportable. Il était ici depuis un an. Le pauvre petit n’avait plus ses parents et l’on raconte qu’ils sont morts devant lui mais personne ne put lui arracher le pourquoi du comment. Mais à en juger les cicatrices qu’il avait sur le corps, il n’avait pas été épargné non plus entièrement. Elle n’était pourtant pas sans cœur; elle compatissait volontiers pour tous ces enfants qui se retrouvaient ici. Mais lui … elle n’y parvenait pas. Était-ce ses yeux rouges ou son air trop impassible pour un enfant de 8 ans ? Elle n’en avait aucune idée, mais ce gosse lui donnait la chair de poule avec ses comportements étranges. Arrivée à sa hauteur, elle posa doucement une main sur son épaule.

« Lesli, tu m’as entendu ? Allez, vi- … A-Aaaaaaaaaaaaaaaah ! »

Un hurlement d’effroi transcendant l’atmosphère comme un coup de tonnerre. D’effroi ou d’horreur plutôt. La jeune femme s’était aussitôt reculée d’un pas, une main sur la bouche et le cœur au bord des lèvres. Entre les mains du petit garçon, un caillou pointu. Des mains tâchées de sang et de boue alors qu’il dépeçait avec barbarie ce qui semblait être un chaton. Les intestins au-dehors, le cœur arraché, la mâchoire déboitée. Les traces de griffes sur ses mains et son visage attestaient que la pauvre bête avait été consciente un long moment. Lentement, le garçon s’était tourné vers la femme. Son regard dément la fixant intensément. Un sourire sadique et pervers sur ses lèvres innocentes, amusé.

[…]

« Cet enfant est complètement fou !
- Il ne peut pas rester ici !
- Il fait fuir tous les couples intéressés !
- Qui voudrait d’un albinos tout d’abord ? Il est dérangé en plus de ça !
- Il faut s’en débarrasser. »

S’en débarrasser. Comme un vieux chiffon. Comme un animal gênant. Comme un meuble rustique. Jamais ils n’arriveraient à le confier à une quelconque famille. Ca pouvait arriver, mais ce gosse là était effrayant et potentiellement dangereux malgré son jeune âge. Il torturait et tuait des animaux, mais quand il décidera d’arracher les yeux de ses camarades parce qu’ils le regardent étrangement ? Il était instable et leur structure n’était pas adapté pour lui. La direction transmit alors tout un dossier à un médecin. Médecin qui le confia à psychologue. Psychologue qui le confia à un psychiatre. Et ainsi de suite. Personne ne savait quoi faire de lui, personne ne s’en intéressait vraiment à vrai dire. Jusqu’au jour où un homme vint les trouver. Engoncé dans un long manteau noir, ses cheveux blonds vaguement mis en arrière, il s’était présenté à l’accueil. Un air froid, des traits taillés au couteau. Il était venu trouver l’enfant. Isolé des autres, il attendait assit au bord de son lit. Les yeux dans le vague, les mains sur les genoux, il ne bougeait quasiment jamais. Se tirant de son état catatonique qu’à la vue d’une chose intéressante. L’adulte avait contourné le lit, s’étant assit à côté de lui, ses yeux ambrés impassiblement tombés sur lui.

« Je m’appelle Friedrich; je suis venu te chercher Lesli. »

3:17 Skúli n’avait toujours pas bougé. Une petite alarme sonnait à cause de la porte du frigidaire laissée trop longtemps ouverte. Le bras appuyé sur le haut de la porte, les yeux mi-clos et observant sans intérêt l’intérieur vide. Il se redresse, refermant la porte d’un geste nonchalant et le calme revient. Ouais, l’orphelinat. Il y était resté un an et demi à peu près. Il n’en garde pas de souvenirs d’ailleurs, qu’ils fussent bons ou mauvais. Il avait beaucoup oublié de son enfance, d’avant l’arrivée de Friedrich. Les psys lui avaient dit qu’il avait refoulé; si bien qu’il ne lui restait que des brides. Il retrouverait la mémoire peu à peu peut-être, mais il n’y tenait pas. L’albinos va s’asseoir à la table branlante, appuyé au mur et un pied sur la chaise près de ses fesses, il sort une cigarette en regardant à nouveau l’heure. 3:19. Bon Dieu que le temps était long. La vie était longue. Il bâille. Le tabac se consume lentement, la fumée pâle s’échappe de ses lèvres minces.

Citation :
« Là, installe-toi. »

Ses yeux grenats se posent avec curiosité sur le siège que le grand blond lui indiquait. Sans discuter, Lesli se faufile dans la rangée et va s’asseoir. A sa droite, un hublot donnait sur les pistes et l’aéroport. Depuis qu’il était venu le chercher, l’enfant n’avait pas desserré les lèvres. Friedrich s’asseyant à côté, il lui met sa ceinture de sécurité avant de mettre la sienne. Les minutes passent, l’avion décolle.

« Nous allons à Munich. »

Toujours pas de réponse. Le blond ne s’en formalise pas. Il était habitué à ces gamins en plein choc post-traumatique. C’était aussi son travail d’aller les chercher aux quatre coins du globe.

« Il nous restera ensuite un peu de temps jusqu’à Rosenheim. Tu intègreras ta nouvelle famille là-bas. »

Il n’acquiesce même pas. Il lui jette un vague regard en coin. Une famille allemande s’intéresse aux orphelins islandais maintenant ? Mais il se désintéresse bien de ces affaires de grandes personnes. Il se roule en boule et s’endort sur l’accoudoir. Au bout de quelques heures l’avion avait atterri. Au bout d’une autre, la voiture qu’ils avaient emprunté s’arrêta face à un large portail. Noir et surmonté de piques; des arbres denses empêchaient de voir au-delà. Automatiquement, les portes s’ouvrent dans un grincement sinistre. Les roues de la berline dérapent un peu dans les cailloux blancs. Curieux, l’enfant jetait des regards par-dessus la vitre alors que quelques mètres derrière eux, le portail se refermait. Scellant en même temps ce qu’il allait devenir entre ces murs.


Et qu’était-il devenu ? Une machine à tuer. Un Hitman dans les idées populaires. Cette nouvelle famille n’était que le quartier général d’une organisation de crimes organisés mais à grande échelle. Une mafia ? Une mafia acceptée et sollicitée par les gouvernements pour régler quelques affaires dans la plus grande discrétion. Et parfois, ils faisaient venir des orphelins dont personne ne voulait pour les prendre sous leurs ailes et les former. Aux combats et à l’obéissance de manière générale; insistant surtout sur le fait qu’ils étaient de toutes façons la seule famille qu’ils pouvaient espérer. Là-bas, Lesli n’avait plus voulu être appelé ainsi. Skúli. Ce n’était pas un pseudonyme comme bon nombre de personne le pense. C’est un véritable prénom, le sien. Ezéchiel, ça faisait un peu trop ange salvateur à son goût. Depuis et jusqu’à ce jour 3:30, il était devenu un chasseur de primes. Un assassin payé par les impôts des bonnes gens de ce monde. Autant dire que cette vie lui avait complètement retourné le cerveau.

3:32. Il écrase le mégot dans un cendrier au milieu de la table, expirant la dernière bouffée toxique en se levant. Son corps maigre craque alors qu’il lève un bras pour l’étirer dans un gémissement blasé. Allez, une petite douche ne ferait sûrement pas de mal. Ses journées commençaient toujours tôt. Et se finissaient tard aussi généralement. Il pouvait bien prendre des somnifères, mais au fond il ne se sentait pas moins fatigué avec. Il pousse la porte de la salle de bain, la laissant ouverte sans s’inquiéter de voir qui que se soit débarquer ici. Il vivait seul, dans un petit appartement que son travail ingrat lui avait payé. Face au miroir, il retire son haut qu’il laisse tomber au sol. Ses côtes saillent sous sa peau d’albâtre; des muscles bruts et sans finesse roulant sous quelques cicatrices. Au pectoral gauche, un piercing d’acier perforait son téton. Le seul qui avait su survivre sans être arraché, en plus de ceux à ses oreilles. Son pantalon glisse de ses cuisses musclées mais tout aussi disgracieuses dans leur maigreur. A 3:45, il se prélasse sous l’eau chaude et jusqu’à 4:15.

Les journées étaient longues quand il n’y avait rien à faire.

Nouveau message de Dunk (8:01) : On se rejoint à l’église.

8:02. Il soupire. Il allait pas encore l’emmerder avec ça non ? Eteignant sa console, il se lève et va prendre une veste et un sac en bandoulière pour transporter ses petites affaires. Fermant l’appartement derrière lui, il range les clés et enfonce ses mains dans ses poches après avoir rabattu la capuche sur ses cheveux. Pas qu’il avait honte de lui, mais les regards des passants avaient une sérieuse tendance à l’agacer. D’humeur pas trop flemmarde, il daigne se rendre à pied devant le parvis de l’église. Ses pierres blanches, son haut clocher. Il ne se sentait pas l’âme d’un croyant, et il aurait besoin de plusieurs vies en tant que moine isolé au Tibet pour expier ses péchés. Pourtant, il grimpe lentement les marches et va pousser la porte de bois à 8:32. La nef dallée de marbre remontait sur plusieurs mètres, bordés de plusieurs bancs sombres. Des colonnades et des voûtes, les vitraux dispersaient leur palette de couleur sur le sol en petites tâches. La beauté religieuse des lieux le laissait globalement indifférent. Nonchalant, il avance et va s’asseoir au troisième rang. Comme d’habitude. Un instant face au supplice du Christ, il s’en détourne avec ennui et pose ses pieds sur les bancs de devant puis sort sa Nintendo DS pour jouer en attendant. Quelques pratiquants passèrent à côté, jetant des regards outrés mais n’osant pas s’approcher ou faire de remarque. Il n’était pas baraqué ni même grand, mais il dégageait ce quelque chose d’antipathique et d’acide. Et finalement, 9:00.

« Aaah ! Qu’est-ce que je me sens mieux tout à coup ! »

Poussant bruyamment la porte d’un confessionnal, un roux aux longs cheveux sortit en étirant ses bras sur le côté comme s’il recevait sur lui la lumière sainte de la rédemption. Un encart noir sur l’œil droit, l’autre brillait d’un vert malicieux. Il trottine ensuite gaiment jusqu’à l’albinos alors que discrètement, le prêtre sortait de l’autre porte avec un air choqué. Skúli prit le temps de sauvegarder sa partie et éteindre la console avant de lever ses yeux rougeoyants sur son camarade qui se laissait tomber sur le banc dans une longue expiration.

« Tu devrais essayer un jour, tu te sens soulagé \o/
- Non merci …
- Ou rien que pour voir la gueule du prêtre, j’t’assure c’est … orgasmique. ~
- Tu lui as raconté pour la gamine de l’autre jour là ? ~
- Ahn ouais, il en est resté sur le cul ! Il aura de quoi se branler pendant une semaine avec la couche de détails que je lui ai mis ~ Faudra pas lui laisser des gosses sur la main, on sait jamais. Eh Madame ! Vous avez entendu ! Sortez ce pauvre garçon innocent d’ici D8
- Avant qu’un type louche en robe vienne lui demander s’il veut pas jouer avec son lapin D8
- Bwahaha ! Faire squik squik ~ »

Les deux riant comme deux fous sur leur banc, les regards aussi choqués qu’interloqués des religieux qui préfèrent s’écarter de quelques rangées. Le prêtre sort de son office pour jeter les deux jeunes hommes hors de son église, ceux-ci sortant sans se faire prier et en se marrant bien encore sur quelques mètres. 9h15, il sortent sur le perron et d’un geste simultané, ils sortent tous deux une cigarette qu’ils allument et tirent avec la même synchronisation. Regardant autour d’eux un air amusé, ils expirent dans le vent matinal un nuage de fumée opaque. Dunk, ou Duncan pour les autres. Proches comme deux frères, ils s’étaient rencontrés dans cette drôle d’organisation en Allemagne. Ils avaient été dans la même chambre et aujourd’hui ils travaillaient souvent en binôme. La seule personne à qui Skúli attachait de l’importance même s’il l’avait aussi souvent qu’il avait estimé le mériter, au moins trois fois par jour. Et aujourd’hui, ils avaient rendez-vous.

« A quelle heure il voulait nous voir le vieux Frichon ?
- 10h; on sera en avance.
- Tant mieux, ça le fera suer qu’on squatte le salon. T’as pris ta console mon chou ?
- MA console oui.
- Allez fais pas ton égoïste avec moi è.é
- Va te faire foutre.
- Toi d’abord ~
- Ta gueule èAé
- Je t’emmerde sale rat OGMisé èAé »

S’éloignant main dans main.

Train Station ▼ A bord du Cinderella

Citation :
« LA FERME C’EST A MON TOUR CA FAIT UNE DEMI-HEURE QUE TU JOUES !
- VA TE L’ACHETER SALE ROUX D’MERDE !
- C’est fini la scène de ménage ?
- C’est lui a qui commencé Frifri ! Lesli elle veut pas me prêter son jeu é.è
- Enfoiré de ta race de roux dis encore ça et je te crève ton œil !
- Bon, ça suffit. »

Friedrich se penche dans un soupir et tire la console des mains de l’islandais. Levant une main pour stopper toutes protestations, il les fixe durement, sa patience largement entamé. Ces deux gosses lui donnaient toujours des maux de tête phénoménaux …

« Là. On peut parler maintenant. … Cela va faire plusieurs semaines que nous recevons des demandes récurrentes et vous n’avez pas de missions particulièrement importantes en vue, je me trompe ?
- Calme plat, oui.
- Ces quoi ces demandes ? »

Le regard ambré de l’allemand s’arrête un long moment sur Skúli qui soutient l’analyse en fronçant les sourcils avec agacement, il n’aimait pas être fixé de la sorte. Tirant un tiroir du bureau derrière lequel il se trouvait, il en tire une large enveloppe en papier kraft. Il l’ouvre dans un bruit sec, en sortant deux billets qui déposent devant les deux garçons.

« Vous embarquez sur le Cinderella dans deux jours. Vous avez carte blanche pour --
- Foncer dans le tas ? ~
- C’est pas trop tôt. »

Aujourd'hui, cela fait à peu près un an qu'il hante les wagons du Cinderella. Sa place, il l'a vite trouvé. le conflit entre les First et les Second ? Il y participe activement comme vous pouvez vous en douter. Au début, il n'était question que d'envoyer quelques cobayes aux scientifiques zélés du même calibre que ses parents. Maintenant, il a plus tendance à les réduire en charpie et les miettes sont relativement inutiles pour les expérimentations. Zélé et plus dément que jamais, il n'a aucune pitié pour ces animaux quelque soit leur âge. Mais entre temps, il prend le temps de se reposer quand même parce qu'il est quand même sympa ce train au-delà de ça. ~

Apparence

Couleur des yeux : Rouge (Albinos)
Couleur des cheveux : Blanc (Albinos)
Taille : 183 cm
Poids : 62 kilos
Style
vestimentaire :
De noir, du orange, du violet. Tout sauf du rose. Ça suffit de s'appeler Lesli, eh. Souvent débraillé, des vêtements craqués (volontairement ou non), il porte des vêtements amples pour cacher sa maigreur. Des tee-shirts, des jeans et surtout des breloques partout comme des chaînes ou des menottes nowhere qui le font parfois passer pour une quincaillerie ambulante.
Maitrise

Arme : Marteau multi-tailles
Quoi qu'est-ce ? Un marteau fait d'un métal sombre. Il a la possibilité de le faire grandir et grossir à volonté et selon l'ampleur de la tâche. Le poids varie bien sûr en conséquence. Généralement, il le garde le plus petit possible et accroché à sa ceinture à la manière d'un flingue, prêt à dégainer.
Maitrise : Comme son humeur, c'est tout ou rien. Pas qu'il ne maîtrise pas le changement de taille, enfin si un peu de ça aussi, mais comme il ne fait jamais de la demi-mesure et qu'il s'emporte facilement, il a tendance à ravager les lieux dès qu'il l'utilise. Au plus c'est grand, au mieux c'est en quelque sorte ... Il sait se battre, le seul problème c'est qu'il devient un véritable fléau pour tout le monde avec ça entre les mains. Mais ce n'est pas comme si les dommages collatéraux lui avaient déjà posé un problème de conscience.




Dernière édition par Lesli E. Skúli Leifsson le Mer 4 Mai - 10:44, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 19:26

Yaaa un 2nd Class! Et du même âge que moi IRL en plus! :3

BIENVENUE sur le Cinderella cher Skuli! ^^
Je vais de ce pas lire ton début de fiche! =)

(T'as du dérapé au niveau du code de la fiche à la fin... T'inquiètes, t'es pas le premier! Razz)

Edit: Bien joué, ta fiche a repris son apparence normale! =D


Dernière édition par William Grant le Lun 25 Avr - 19:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 19:34

    Merci bien n.n ♥
    Oui, un sacré dérapage ... Mais j'ai vaincu èAé \o/.
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 19:39

Bienvenue sur le Cinderella !
(dooooogs * *)
Lesli est 2nd Class. Et je suis fan de son caractère... comment dire... de borderline.
Comme arme je peux proposer à ton chasseur insensible pour ces pauuuvres bêtes...
    - le Javelot porc-épic
    - le Marteau multi-taille
    - le Pistolet à impulsion électrique


(j'avoue que je me suis lâchée dans les choix parce que tu es le premier 2nd Class à qui on propose * *, pardon)
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 19:59

    :bipolar:

    Merci ~ (n'est-ce pas **)

    Tu t'es lâchée mais comment je fais pour choisir moi maintenant éAè Viande hachée ou viande grillée ... :hum:

    Pourquoi multi-taille le marteau ? XD Et le javelot porc-épic est différent en quoi du javelot normal ? o_o
    Oui oui, je visualise pas les armes, lynchez-moi. /pan
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 20:04

:crazy: Un second claaaaassss

Le Marteau muli-taille est en quelque sort (non, c'est carrément ça en fait) le marteau de Lavi dans DGray Man. En gros il grossit et rétrécit à volonté.

Le Javelot porc-épic sort direct de mon imagination bizarre, pardon. En fait, tu le lances vers quelqu'un et paf, dès qu'il entre en contact avec sa peau, l'extrémité se gonfle comme un porc-épic qui sort ses piquants en se roulant en boule, et se recouvre de... piquants.

Tu visualises mieux ?

(viande hâchée)


Dernière édition par Conducteur le Lun 25 Avr - 20:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 20:06

Nyah, désolé pour le flood. :hello:

Fan de Zelda et de Pokemon, j'aime! 8D
"Sweet dreams are made of this", j'aime! :3

On va s'entendre! Ou pas. Chuis une bébête moi ~
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 25 Avr - 20:23

    Eh ouais ~ :spin: (J'adore ces petits smileys ... :dancing: *va s'enterrer*)

    Donc, comme dit sur la CB, je prend le marteau >D
    Ohn non, j'aime pas les vilaines bêbêtes è.é Mais je te trouverai un sort, soit sans crainte :exciting:
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeMar 26 Avr - 1:23

Huhu bienvenue à toi ! :party:
T'as raison, ils sont trop chouettes mes smileys x).

Bon courage pour la suite de ta fiche et en cas de questions, hésite pas !
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeMar 26 Avr - 2:25

:dynamite: Grr ! Un méchant ! XD

J'adore ton personnage ! OwO Bien que je vais l'éviter... =)
BIENVENUE !!

S. : Furette !
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeMar 26 Avr - 2:45

Bienvenuuuuue ! *beugle*

Je n'ai qu'une chose à dire : ton personnage geyre de la fougeyre de la mégeyre de l'étageyre.
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeMar 26 Avr - 4:25

Je te souhaite la bienvenue. Wink
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Lucas Drummer


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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeMar 26 Avr - 6:35

Welcome petit malade ! 8D -j'aime les tarés OuO-
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeDim 1 Mai - 15:59

    Merci merci merci ♥ ( un peu en retard mais je voulais pas floodey è.é )

    Voilà, fiche terminée je pense \o/ Enfin, j'vous avouerai que je ne me suis pas relue. *meurs*
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeDim 1 Mai - 19:13

J'adore et je valide. Non attends. JE BAVE et je valide !
J'adore Skuli. Je suis raide dingue de son histoire poignante.

Il reste quelques fautes d'orthographe sur la fin mais elles sont minimes ~

JE TE VALIDE !
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Rendez-vous dans le RP, le Trip Diary et le Boarding Pass. Amuse-toi bien à bord ~
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitimeLun 2 Mai - 4:42

Kiwi en retard ? Mais naaan à peine xD
BIENVENUE à bord Mister Skuli !


Ah ! Enfin un 2nd Class, un vrai, sadique et tout et tout, mais malgré tout, avec une psychologie bien plus développée ♥
Je sens qu'avec toi dans le Train, on ne s'ennuiera pas... Bref, amuse-toi bien parmi nous & à très vite !
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MessageSujet: Re: SKULI || Down with the Sickness. SKULI || Down with the Sickness. Icon_minitime




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