Gareki de Karnaval copyright | "Absurde ! Disait l'Animal au Gentilhomme"
Fiche d'identité Né(e) : Le six mai Age : Dix-neuf ans Sexe : Masculin Nationalité : Française -origine autrichienne- Groupe voulu : Controllers Poste : Aucun Talent : Distorsion de la réalité Situation amoureuse : Célibataire Surnoms : Gaspi, Gasp, Gaspille, Gaspouille etc... |
Votre caractère
-Comme il est serviable !
-Et si courtois !
-Que dire de plus ?
A part qu'il n'est rien de tout ça... Oh oui il sera à peu près serviable, si la tâche n'est pas trop épuisante ! La courtoisie ça la connait aussi ! Tout comme l'hypocrisie d'ailleurs... Il vous fera de beau sourire commerciale, sera toujours d'une politesse inouïe envers vous, mais... n'avez-vous rien marqué ? Oui son attitude semble tout bonnement... jouée. Et c'est le cas, malheureusement pour lui, ou plutôt pour vous, Gaspard ne ressent pratiquement aucune émotion, aucun sentiment. Il n'en est pas totalement dépourvu, mais c'est juste que tous ces petits marshmallows du cœur et d'empathie sont bien enfouies.
De ce fait, il est pratiquement obligé de toujours jouer un rôle, plaisant si possible, car il est bien connu que la société apprécie les bouilles agréables. Mais au fond de lui-même il se sent totalement indifférent à toutes vos expressions de joies et vos simagrées. Il essaye juste de rentrer dans le moule, qu'on le laisse un peu tranquille, à ses petites affaires...
Et le seul moyen possible permettant d'établir un environnement stable est... l'hypocrisie. Il faut vérifier le ticket de l'énorme bonne-femme pas commode ? Rien de plus facile ! Il suffit de la flatter sur sa splendides nouvelle paire de chaussures rose bonbon et verte fluo, lui faire remarqué que cette originalité la rend toute pétillante... et finir par entamer une jolie petite conversation tout en vérifiant sans accrochage le mignon ticket. Si elle n'est pas belle la vie après ça !
Enfin, il y a de quoi trouver ça bizarre, un agent de contrôle qui a peur d'une dispute, alors qu'il a tous les droits. Oui, notre Monsieur Keffler est un vrai lâche, une chiffe molle, il ne veut pas être rejeté le pauvre petit ! Le moindre coup risquerait d'abîmer sa magnifique peau de bébé vous comprenez ! Une véritable chochotte en somme, qui de par ce fait, est un vrai pacifiste ! La gué-guerre entre les deux clans ne l'intéressent guère, il ne penche pour aucun des deux, et ce comporte de la même manière avec un first ou un Second sans distinction. Si une scène de combat -ou de ménage- survient dans le wagon où il se trouve...Pouf ! Disparu le contrôleur ! Il a vite fait de déguerpir tranquillement et d'aller voir ailleurs s'il y a un meilleur climat ambiant...
Autre fait étrange... Le petit monsieur est réglé comme une horloge ! Son lever, son temps passé dans la salle de bain, son déjeuner, son ordre de passage pour la vérification, il a absolument tout réglé selon une horloge précise ! Toutes ses habitudes, sa manière des ranger, de manger, de marcher, de parler, tout est soumis à des règles internes à lui-même, et ce, dans le but de paraître aussi naturel que possible, petit paradoxe non ? Pas très sympathique le petit bonhomme vous direz après tout cela ! Pas vraiment un homme !
Pourtant, il possède bien quelques qualités, mais si ! Tenez, par exemple c'est un grand optimiste, il pense toujours que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes -Leibnitz sort de ce corps- ! Si quelqu'un meurt, eh bien...c'est qu'il a dû le mériter ! Et si un chef pâtissier ce décourage parce qu'il n'arrive pas à faire un parfait succès -vive les jeux de mots- il sera toujours là pour le réconforter, lui dire d'aller de l'avant, et de penser à tous les petits clients affamés qui attendent avec impatience son œuvre ! Et pour une fois, ce ne sera pas hypocrite -et pas tout à fait désintéressé non plus, car les pâtisseries et Gaspard ne font qu'un dans son estomac !
Et même si vous sentez que Gaspard est particulièrement gentil avec vous -enfin, plus qu'avec les autres- et que c'est certainement parce que vous pouvez lui être utile, dite vous que son hypocrisie extrême le poussera à toujours écouter tout vos malheurs ! -genre ça l'intéresse...- Qu'il vous réconfortera et vous donnera des conseils en toute occasion ! - histoire que vous lui renvoyez l'ascenseur un de ces quatre et que vous arrêtiez de mouiller tous ces polos- Enfin il aura toujours un sourire aux lèvres, certes un peu crispé à certain moment, mais sourire tout de même ! Vous n'avez qu'à mettre sa froideur intérieure de côté... Avec un peu de patience le zéro absolu peut toujours fondre : il ne suffit que d'un brasier ardent.
Belle histoire, histoire ancienne. Votre passé.
Noir, il fait si noir, il fait si froid, il neige, mais la neige est déjà rouge, et l’homme continue de s’avancer.Gaspard von Keffler est née de l'alliance d'Anne Brichaud et de Frank von Keffler, il fut l'aîné d'une fratrie composée avec lui, de deux jeunes soeurs : Capri et Kerstin. L'histoire ne dit pas pourquoi un jeune noble vint à épouser une paysanne, mais il y a beaucoup de chance pour que celui-ci soit fauché. Donc la famille joyeuse et vivante dans un petit village du nord de la France avait deux légers problèmes : un ils manquaient cruellement d'argent, deux il s'avérait qu'un camp de réfugié ayant la capacité de se transformer en animaux se serait installé dans LEUR forêt, celle de LEUR village. Heureusement il se trouvait que le gentil papa du petit Gaspard possédait une magnifique arme ! Une belle arme qui servait à tuer les méchants gens qui les envahissaient ! Et en plus on pouvait donner BEAUCOUP d'argent à ceux qui les chassaient... comme c'est beau. C'est ainsi qu'un magnifique soir de pleine lune, Frank le grand et des amis à lui firent une rafle chez les demi-hommes.
Ils s'en donnèrent à coeur joie, les réfugiés même s'ils possédaient une grande puissance, ils ne purent se défendre devant ces hommes possédant des armes à feu, connaissant bien mieux qu'eux le territoire, et surtout, n'ayant pas à assurer leur famille. Ce fut un carnage, un véritable et authentique carnage.
Le père rentra heureux et couvert de sang à la maison, le lendemain il se pressa d'aller clamer la bravoure de son combat et la férocité et l'inhumanité de ses adversaires à ces enfants. Étrangement il oublia de leur dire que ces habits n'étaient tachés que du sang d'enfants...
Mais ce n'était pas grave, car il reçut une grosse prime, très grosse, on ne sait pas de qui, c'est un peu vague...une connaissance à lui... de toute façon maintenant ils avaient une belle maison, un beau jardin, et la vie était douce... les années passèrent, sans que rien ne se passa réellement. Elles passèrent jusqu'à la septième année de Gaspard qui bien que frêle, n'en était pas moins un aventurier intrépide. Capri entrait dans ça cinquième année et Kerstin dans ça quatrième. C'était sur elles que Gaspard, cet adorable gamin, avait découvert quelque chose de très intéressant : parfois il arrivait à leur faire croire des choses totalement fausses, et elles y croyaient dur comme du fer. Malheureusement pour lui, cela n'arrivait que parfois, ce qui lui valait souvent -en contrepartie- une bonne volée de claques.
Par une belle matinée d'hiver, les trois mioches effectuèrent une expédition dans la jungle sauvage, l'un de leurs jeux préférés.
-Ahahah ! Regardez devant vous ! Un temple oublié ! déclara Gaspard qui s'était vêtu tout de kaki pour l'occasion.
-On y va ? s'exclama Kirsten avec enthousiasme.
Capri se contentait de sourire avec un petit air benêt. Les enfants se dirigèrent promptement vers la bicoque, et après avoir frappé avec leur petit poing sur la porte -on ne sait jamais- ils rentrèrent, ne recevant pas de réponse. L'intérieur était tout aussi délabré que l'extérieur.
-'ya ql'qun ? s'enquit Capri timidement tandis que ces aînés balayaient tranquillement du regard leur nouveau terrain de jeux.
Soudain, ils aperçurent deux petites masses sombres tassées dans un coin. Le trio s'avança prudemment et remarqua rapidement qu'il s'agissait de deux fillettes : l'une -la plus grande- tenait sa soeur -ou qui semblait l'être- dans ses bras, leurs regards étaient totalement apeurés. Un malaise général s'installa. Personnes ne parlaient par peur de rompre le silence, et par peur de l'autre aussi. Au final ne sachant que faire, le trio repartit rapidement chez eux, ne disant mot de ce qu'il avait vu à leurs parents.
Le lendemain ils revinrent, et cette fois-ci, échangèrent quelque mot avec les deux petites, qui se trouvaient encore seules dans la maison. La plus grande avait neuf ans, et se nommait Bastia, la plus petite n'avait que quatre ans, comme Capri, et se prénommait Edna, et elles avaient un père, mais qui ne revenait que le soir, et leur mère... « Maman dort » disait papa. C'était drôle car Edna gardait toujours dans ses bras une boîte, et ne permettait à personne de l'ouvrir, elle ne cessait de répéter un charabia incompréhensible qui devait signifier « zé mo rêve ! », ce qui semblait gêner sa soeur. Ils apprirent rapidement qu'elles provenaient du camp dévasté, ce qui n'empêcha pas les trois jeunes Keffler de jouer avec elles, les enfants savent très vite se débarrasser des préjugés. Ils restèrent ensemble toute la journée, et rentrèrent chez eux vers les dix-sept heures. Sur le chemin du retour, Gaspard attrapa ses deux soeurs, il savait pertinemment que si le grand Frank l'apprenait, non seulement il se ramasserait une fessé pour avoir emmené ses soeurs faire la causette aux étranges fillettes, mais en plus, il n'était pas sûr que leurs nouvelles amies en ressortent indemne. C'était seulement un pressentiment... son père ne ferait pas de mal à des enfants n'est-ce pas ? Il dit donc à ses soeurs, essayant d'user de son pouvoir, qu'elles n'avaient jamais rencontrées ces deux petites. Lui, viendrait seul la prochaine fois. Elles acquiescèrent tout sourire, et Gaspard pensa qu'il venait de réussir son coup...sauf que la réalité était tout autre, Capri et Kirsten avaient bien entendues, mais pas exactement ce genre de phrase... A l'approche du jardin, les deux petites filles se mirent à courir très vite, elles semblaient presser de révéler un secret à leur père qui jardinait, et de ce fait, l'appelaient en riant. Gaspard, s'inquiétant de leur dire se mit à courir lui aussi, mais se figea lorsqu'il entendit Kirsten parler à leur père. Elle lui racontait d'un sourire innocent comment ils avaient rencontré deux hybrides agressives et comment Gaspi les avaient maté avant de revenir ici pour prévenir monsieur. Capri regardait Kirsten avec de grands yeux, et se démenait dans son faible langage pour faire comprendre que sa sœur mentait. Frank Keffler leva alors les yeux et demanda à Gaspard Keffler, son fils, si c'était vrai. Il n'hésita pas, il savait que dans tous les cas, papa allait voir s'il ne restait pas quelques hybrides à chasser dans le coin...alors il répondit non, qu'il n'avait vu personne, que ce n'était qu'un jeu. Il savait que si son père trouvait les deux petites, il allait en voir une belle, mais il avait un plan, oui, demain matin très tôt, il allait les amener plus loin, assez loin pour que personne ne vienne les déranger. Et lorsque la journée s'acheva, les petiots allèrent au lit, et le héros de la famille préparait son beau fusil à particules. A l'aube, Gaspard se leva le plus lentement qu'il put, et s'habilla chaudement. Dehors il faisait un peu frais, et une certaine humidité flottait toujours dans l'air. Il arriva bientôt devant la maisonnette, dont la porte avait volé en éclat.
-Bastia ?
Pas de réponse...
-Edna ?
Toujours pas de réponse...
-V-vous êtes là ?
Il s'avança jusqu'à la porte, et rentra. Le soleil n'était encore qu'un petit point de l'horizon, il était difficile de se repérer dans la maisonnée qui semblait avoir essuyé une nouvelle fois un ouragan. Une puanteur insupportable régnait à l'intérieur. Le sol avait de grosses tâches noirâtres et un peu gluantes. Gasp comprit alors qu'il était trop tard, à un mètre de lui se tenait un bureau renversé, il en dépassait une jambe avec son petit pied chaussés. C'était une jolie chaussure avec des motifs de cerises dessus, exactement comme celle d'Edna, il retint son souffle. Juste à côté du bureau se trouvait la boîte que la fillette tenait toujours, il l'ouvrit. Elle contenait une paire de lunette d'aviation et une photo : une femme souriante se tenait près d'un avion militaire un peu défraichis, les lunettes à la main. C'était une très belle femme assurément, elle avait les mêmes grands yeux que Bastia et les mêmes cheveux lisses qu'Edna. Il laissa la photo et prit les lunettes, sans savoir vraiment pourquoi, mais il se sentait obligé en quelque sorte. Il repartit en courant jusqu'à en perdre haleine, il n'avait pas pleuré. Pourquoi faire de toute façon ? Il était déjà trop tard. Son père ne leva pas les yeux pour le voir revenir et continua de couper du bois, machinalement. Les filles jouaient tranquillement à l'intérieur, « mam » comme disait Capri, était parti au village.
Une vingtaine de minutes passèrent, pendant lesquelles Kirsten et Capri demandèrent à Gaspard où il avait trouvé de si drôles lunettes, « par terre » répondit-il froidement, avec un maigre sourire. Les fillettes continuèrent de jouer sans se rendre compte de ce qui se passait.
Puis un coup de feu survint, de l'extérieur.
Un bruit sourd, quelque chose de lourd était tombé.
Gaspard sorti dehors, en intimant à ses jeunes sœurs de ne pas le suivre.
...
Il fait noir, trop noir, un nuage passe devant le soleil. Il fait froid, et la neige au sol est veiné de rouge. Il y a un homme à terre, il y a un homme couché sur le sol, et cet homme n'a plus vraiment de tête, mais c'est un homme bizarre, car il porte les vêtements de papa, mais où est papa ?
Il y a un homme debout, et cet homme pleure, mais ne sanglote pas, il pleure seulement.
Non loin de lui il y a Bastia, Bastia porte une petite valise.
L'homme debout regarde les mains de Gaspard, sans rien dire. Gaspard regarde ses mains, il a oublié de laisser les lunettes à l'intérieur.
Il fait froid, il fait encore nuit, la neige est déjà rouge, et l'homme s'avance.
Capri sort dehors et court vers Gaspard s'en comprendre ce qui se passe, elle s'arrête net en voyant le corps, mais ne comprend pas, brave Capri. Alors, elle lève les yeux et aperçoit au loin Bastia, lui sourie, lui fait signe, et demande d'une voix joyeuse :
-L'est où 'dna ?
Puis elle voit l'homme au visage fermé qui s'avance, et se tait.
L'homme se pose devant Gasp et lui prend délicatement des mains l'objet volé, le garçonnet n'oppose aucune résistance, il est paralysé.
L'homme pose les lunettes sur la tête du jeune, lui donne une tape amicale sur la joue, lui demande pardon, et finit par dire « ma petite Edna est devenue un beau garçon ».
Peut-être parce qu'Edna avait des cheveux courts, et noir jais, peut-être aussi parce qu'Edna avait parlé de Gaspard à son père, avec sa voix de crécelle et son zozotement caractéristique.
Puis L'homme s'en va, et emmène avec lui Bastia, Bastia n'a même pas dit en revoir.
Gaspard répond alors à Capri :
-Edna dort
Ce n'est qu'après que Kirsten est sorti et a aperçu son père mort.
Entre temps la perception de Gaspard et surtout de Capri venait d'en prendre un coup...
...
Douze ans passèrent.
La mère était devenue complètement folle depuis la mort de son mari, tout comme Kirsten. Ces deux-là s'étant transformées en de véritable sauvages et c'étaient jurées de faire la peau à tous les Hommes-animaux qu'elles rencontreraient. Anne buvait continuellement et débitait des phrases sans suites. Kirsten qui avait à présent dix-sept ans, gérait d'une poigne de fer la maison et criait tout le temps sur Gaspard qui ne faisait jamais rien et fuguait continuellement..quant à Capri... elle avait beau avoir seize ans...elle était pareille à une enfant. Totalement renfermé sur elle-même elle ne parlait qu'aux insectes, et suivait de partout Gaspard, c'était d'ailleurs à cause de cela qu'il se faisait tout le temps rattraper par kirsten...
Mais un beau jour de fugue...
Train Station ▼ A bord du Cinderella
Le fugueur avait pris le parti de suivre les rails des trains : le meilleur moyen d'arriver en ville selon lui. Un jour -alors qu'il gambadait tranquillement dans les hautes herbes infestées de serpents- un train passa à toute allure à côté de lui -tout ce qu'il y a de plus normal lorsque l'on marche près des rails-, mais ce train avait quelque chose de...particulier. En effet il lâchait des tonnes de prospectus dans les airs sans se soucier de l'endroit -particulièrement vide d'homme- où il les laissait voleter dans les airs... C'est ainsi qu'une petite affiche vient violemment se placarder sur la bouille inoffensive de notre antihéros. Après l'avoir lu attentivement, il comprit que ce train qui se nommait Cinderella -pathétique nom pensa-t-il en passant- était son salvateur. Enfin il allait pouvoir faire une fugue définitive, loin de sa famille totalement siphonnée et digne des tragédies comiques -ou plutôt parodiées. Il prit donc l'immense décision de s'engager, sans savoir que celle-ci allait changer sa vie.
Les premiers jours furent magiques, son boulot ne lui demandant pas beaucoup d'effort pour le moment il put en toute tranquillité visiter entièrement le train, sans pour autant aborder les autres Controllers ou les Waiters -qu'il essaie d'éviter à tout prix. Les passagers n'étaient pas vraiment désagréables et il régnait une ambiance bonne enfant dans bon nombre de wagons.
Les jours suivants il eut la joie de découvrir la face un peu plus morbide du voyage. Il eut affaire à plusieurs combats entre des first class et des second class... qu'il n'essaya pas de résoudre pour autant. Il avait préféré déguerpir face à cette situation trèèès dangereuse, et ce fut à partir de ces premières rencontres avec la violence interne qu'il prit une seconde décision : fuir face à l'adversité. Ce n'était pas de la couardise -voyons !-, seulement ce n'était pas son travail après tout hein...lui il contrôle tout ça... il jette par la fenêtre les clandestins -faibles- et tout -ou leur demande de bien vouloir descendre au prochain arrêt. Il est gentil, personne ne se plaint de lui, alors bon...lorsque ça s'envenime... personne ne lui reprocherait non ? Il laissait donc tout le monde se taper dessus et changeait subtilement et en un instant de wagon. Sinon mis à par ces problèmes-là Gaspard avait une très bonne opinion du train, après tout sans lui, qui sait, sa famille serait encore en train de lui courir après... ici au moins il avait la paix, et était -pratiquement- sûr, que ni ses sœurs, ni sa mère, pourraient monter dans le train, ou deviner qu'il si soit réfugié.
Apparence Couleur des yeux : Bleu Couleur des cheveux : Noir jais Taille : 1m82 Poids : 68 kilos tout mouillé Style vestimentaire : Il est pratiquement toujours vêtu de la même manière, avec des shorts longs bouffant de hautes Rangers cuirassées, toujours en polo sans manches et avec col, assortis à ses gants en cuir. En hiver où par temps revêche il porte un lourd et long manteaux noir à capuche. Son style n'a rien d'accueillant contrairement à son visage avenant mais il n'a pas l'air de s'en rendre compte... ps: il laisse toujours traîner sur sa tête une vieille paire de lunettes d'aviation...valeur sentimentale ? | Maitrise Talent : Distorsion de la réalitéQuoi qu'est-ce ? Chabranigoudou dit le grand gourou et pouf fe ! Alors que je t'avais renversé intentionnellement ce jus de cassis sur ta robe en mousseline blanche... eh bien tu crois que mes doigts ont ripés malencontreusement et que tout cela c'est très malheureux mais bon voilà...ça arrive à tout le monde d'être maladroit TU PIGE èwé ? Maitrise : Très moyennement il faut bien le dire... parfois on obtient ou troisième version de l'histoire ou alors...bah ça marche pas...et là, ça fait mal. |